Ta Sorcière bien aimée, drôle de nom ?!?

Peut-être te demandes-tu pourquoi j’ai choisi le nom de « Ta sorcière bien aimée » ? Et bien, les raisons sont multiples...

En fait :
- Parce que j’adorais le feuilleton « Ma sorcière bien aimée » petite.
- Parce qu’enfant, je rêvais d’avoir une baguette magique pour changer les aspects difficiles du monde.
- Parce que dans ma pratique, je suis assez holistique et en fonction de chaque personne, je peux mêler à la fois du rationnel, du « scientifique », du visible, du « conscient », des notions qui viennent de grandes universités ou de personnes très reconnues dans le milieu de la psychologie et/ou du développement personnel, tout comme de l’irrationnel, des savoirs vieux comme le monde, de l’invisible, des techniques ancestrales, de l’impalpable, de « l’inconscient », et que les deux se complètent à merveille.
- Parce que les « sorcières », si tant soit qu’elles aient réellement pratiqué de la sorcellerie, ont injustement et énormément souffert à une époque où l’accusation était facile pour se débarrasser de personnes gênantes ou surtout de femmes ne rentrant pas « dans le rang » des normes sociétales : voici donc un hommage aux femmes, et plus particulièrement à toutes celles qui en leur temps, pratiquaient les plantes, guérissaient avec des formules transmises de générations en générations, assumaient leur célibat, vivaient pleinement leurs sexualité, et/ou défiaient les "églises" coercitives ; qui, en somme, vivaient à contre-courant de ce que la société patriarcale attendait d’elles. Un clin d’œil aussi pour souligner la chance et le bonheur que j’ai de vivre aujourd’hui à un endroit et à une époque où la femme n’est normalement plus considérée comme inférieure à l’homme.
- Parce que la vie est pleine de magie, et que chaque métier que j’ai pu professer me l’a à chaque fois prouvé.
- Parce que chaque séance, réalisée le plus professionnellement possible, est sincèrement remplie d’amour ♥.
- Et parce que j’aimerais beaucoup savoir voler... Cela doit être tellement beau et grisant de là-haut ! Alors pourquoi pas sur un balai ?

© image : William Mortensen